Vampire Thême
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 If you were a friend, maybe .. [Jenna]

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MessageSujet: If you were a friend, maybe .. [Jenna]   If you were a friend, maybe .. [Jenna] Icon_minitimeDim 8 Mar - 20:25

    L'esprit ailleurs je parcourais la montagne d'un geste rapide. Le vent fouettais mon visage sans que je ne le sente vraiment, mais il m'apportait les odeurs que je traquais. Un puma ne se trouvait pas loin, justement ce que je cherchais afin d'être assez rassasié pour ne pas tenter de tuer un humain, une fois au lycée. J'accélérais encore un peu le rythme et m'arrêtais à quelques distances de lui. Je l'observais. Tout comme moi, il humait l'air à la recherche d'une proie. Sourire carnassier sur mes lèvres je quittais ma cachette pour faire face à la créature. Son regard animal croisa le mien, qui avait prit une teinte foncé, signe d'une faim croissante. Le dos arrondis, en appui sur ses pattes avant, il me dévisageait, près à bondir. Malheureusement pour lui, j'étais plus rapide et sans doute le prédateur le plus sauvage qui pouvait exister.
    Il se jeta sur moi et j'en fis de même. Un seul coup me permis de le mettre à terre, avant de le tuer d'un coup de main bien placé. Tout comme Lynn, j'avais dans l'horreur de vider un animal de son sang alors qu'il était encore en vie. Ainsi, je plongeai les crocs dans sa chair et suçais tout le sang qui, quelques minutes plus tôt, était bouillonnant.
    Je relevais la tête, après l'avoir vidé et essuyais les traces de mon meurtre qui coulait aux commissures de mes lèvres.
    Je rejoignais ma moitié et mes frères et soeurs avant de reprendre la voiture pour retourner en ville.


    L'arrivée au lycée était sans doute le moment le plus amusant. Deux voitures plus flashi l'une que l'autre débarquant ainsi sur le parking du lycée, voilà qui attirait les regards des plus curieux. Certains essayaient même de s'approcher, comme pour vérifier qu'ils ne rêvaient pas. Seulement, j'étais persuadé que notre présence les intimidée trop pour qu'ils puissent oser. J'étais même près à parier que même sans notre présence, ils ne s'approchaient pas à plus de trois mètres. Pari qu'Aaron s'amusa à lancer. Je renchérissais, ne les croyant pas capable non plus. Etrangement, Mariana, ne suivit pas et paria le contraire de moi et Aaron. Ce qui attira automatiquement notre intention, et bien que nous tentions de changer nos paris, ils refusèrent d'une même voix. Boudeur dans l'âme, nous quittâmes les premiers la voiture pour pénétrer dans le lycée. Il me semblait que les élèves se plaçaient sur les côtés, afin de nous laisser assez de place dans l'allée.
    J'eus la désagréable sensation qu'ils nous considéraient comme des dieux. Hors, nous étions tout le contraire, capable de leur arracher la vie en un mouvement.



    -A plus tard.


    Mes frères m'abandonnèrent à l'instar de mes soeurs qui prenaient un autre chemin. Ma moitié déposa un baiser aux coins de mes lèvres et fila à son tour, de sa démarche lutine. Elle semblait danser à chaque pas qu'elle faisait, ce qui eut le don de me faire sourire. Seul, j'arpentais alors le couloir qui menait à mon cours de littérature. Je n'aimais pas vraiment ce cours, le professeur avait tendance à faire des duos et comme il changeait de jours en jours, j'avais une antique peur de me retrouver à côté d'Elle. Je ne fis aucune remarque en passant près de Jenna et de son regard mauvais. Que savait elle de nous pour oser lancer ce genre de regard. Etait-ce par peur que son frère ne soit blessé ? Dans ce cas, ne devait elle pas plutôt nous craindre ? Malheureusement, je n'avais pas le don de Peter, j'étais donc incapable de lire ce qu'elle pensait. Je me contentais donc de calmer l'ambiance.
    Entré en cours, je réalisais que ma place habituelle était prise. Pire, il ne restait qu'une table de libre. Je m'y installais, collé contre la vitre quand le professeur indiqua la place libre à .. Jenna Matthew. D'un même geste, nos regards se croisèrent et elle s'installa à mes côtés, prenant le plus de distance que la longueur de la table lui permettait.


    J'aurais aimé poser une question mais rien ne venait. Son odeur .. Un mélange de parfum mais aussi de senteur animal, légèrement boisé. Odeur de loup. J'avais oublié qu'elle fréquentait l'un d'eux. Ma mâchoire se serra alors que j'ouvrais délicatement la fenêtre afin que le vent frais qui pénètre la salle pousse l'odeur en sens contraire, m'évitant la désagréable senteur. C'était peut être les préjugés qui me faisaient détester cette odeur mais je n'y pouvais rien. Tout comme eux nous voyaient comme des prédateurs sanguinaires, nous, nous les voyions comme des animaux non-civilisés et tout aussi dangereux que nous.
    J'écoutais à peine le professeur qui parlait de faire un exposé en duo. Les duo qu'il venait tout juste de faire. Je ne pus retenir un soupir un peu exagéré et lançais un regard en biais à ma binôme. J'étais certain que si Mariana avait vu ça, elle m'aurait prévenu .. Du moins je l'espérais. Le professeur passa ensuite, distribuant les sujets parmi lesquels nous devions en choisir un. Je laissais le papier entre nous, jetant un regard entre elle et ce morceau blanc calligraphié qui détenait en quelque sorte notre destin pour la semaine à venir.
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MessageSujet: Re: If you were a friend, maybe .. [Jenna]   If you were a friend, maybe .. [Jenna] Icon_minitimeDim 8 Mar - 21:12

    Début de journée assez différent. Le réveil ne m'avait pas réveillé. Je l'avais arrêté avant que sa stupide sonnerie ne résonne dans toute la chambre. Il était à peine cinq heures et demi quand mes yeux s'ouvrirent. Mauvais rêve. Des images de ma mère m'avait assaillies et j'avais du retenir mes larmes, en fixant le plafond. Je soupirais pour finalement me redresser et attraper un livre devant moi. Je l'avais commencé avant de m'endormir, j'avais du essayer de m'en arracher d'ailleurs. Une œuvre célébrissime que je n'avais jamais pris la peine de lire jusque là. Frankenstein de Mary Shelley. Le célèbre docteur fou et le monstre. Je me souvenais que quand j'avais été petite j'avais toujours pensé que c'était un homme qui avait écrit un roman comme ça, alors que ce pillier de la littérature anglaise était l'oeuvre d'une femme... J'avais tenté de retrouver le sommeil, vraiment mais j'avais du me rendre à l'évidence, il était partit loin et l'envie avec. Il ne me restait donc qu'à occuper le temps jusqu'à ce que le temps me rattrape. Je me plongeais dans la lecture de mon roman et au fur et à mesure que les pages passaient les aiguilles les précédaient. Je pensais à la journée qui m'attendait et tentait de deviner les évènements qui allaient la bercer. J'espérais qu'elle serait aussi calme que la veille. Il ne s'était presque rien passer, j'avais juste tenter de passer un peu de temps avec Daniel qui avait eu l'air très occupé mais qui m'avait juré de me retrouver le lendemain matin devant le lycée. Je me demandais souvent comment il était, une fois transformé s'entend. Je savais que je ne pourrais jamais assister à un tel spectacle, qu'il pourrait me tuer et qu'il refuserait toujours de prendre un tel risque mais j'avais du mal à l'imaginer en loup, aussi rapide que la lumière. C'était tellement surnaturel. Enfin, c'était à présent un univers que j'étais obligée d'apprivoiser autant que possible. En tombant amoureuse de Daniel, j'avais appris des choses qu'aucun humain, ou presque, ne devait savoir et le moins que l'on pouvait dire c'était que j'avais bien du mal à m'habituer à ce que tout ça existe, autour de moi.

    Je me dégageais de mes couvertures, ouvrait ma fenêtre et le rituel quotidien reprit son cours : s'habiler, déjeuner, préparer ses affaires tout en tentant de ne pas croiser le regard meurtrier de Keith. Souvent je me disais qu'il fallait que je lui parle, que cette relation ne pouvait pas continuer mais je n'y arrivais pas. Qu'est ce que je pouvais lui dire? Au fait, la fille dont t'es tombée raide dingue pourrait te sucer le sang mais sinon, vas y, fonce! Non... Il m'aurait prise pour une folle et j'étais prisonnière du silence, je le devais à Daniel et je ne voulais surtout pas le trahir. Pour changer, étant en avance j'embrassais cette fois ci Ely et mon père pour finalement partir au lycée à pied. Après tout je n'avais que quelques centaines de mètres à peine à faire et à part une petite bruine légère et rafraichissante le temps n'était pas aussi catastrophique qu'on aurait pu s'y attendre. Je me dirigeais donc lentement vers le lycée en espérant que j'y trouverais rapidement Daniel. Heureusement, il était là assez éloigné de l'entrée pour ne pas avoir à se coller trop aux Anderson/Jackson. Je ne fus pas surprise de voir qu'aucun de son clan n'était là. En fait, je ne les avais jamais rencontrés, du moins pas encore. Juste aperçus par fois. Daniel était persuadé que ce n'était pas le moment et je le comprenais. Surtout, il avait peur de la réaction de son père qui tentait à tout pris le caser avec une autre de son clan. J'avais mon temps. Je savais qu'un jour je les verrais enfin mais j'en avais tellement entendu parler par Daniel que j'avais l'impression de les connaitre, mais surtout je les admirais. Vraiment... Cette union , c'était surtout ça que je trouvais remarquable. Nous n'eûmes le temps d'échanger que quelques paroles que déjà la sonnerie nous séparait. Je me détachais de son étreinte et l'embrassais avant que nous ne partions dans nos salles de cours respectifs.

    J'avais un peu traîné dans les couloirs même si j'adorais les cours de littérature ma tête commençait déjà à me faire regretter les heures de sommeil que j'avais loupé. J'avais donc profité quelques minutes de l'air pur à l'extérieur avant de partir dans la salle de cours. Je stoppais mes pas. Dernière à entrer. Je fermais la porte, prenant tout mon temps, les yeux fermés, main sur la poignée j'espèrais que quelqu'un aurait changé de place, que le seigneur serait avec moi même si je n'y croyais. J'espérais que peut-être je pourrais m'évanouir. Mais non, le baveux prof de littérature m'indiqua avec un grand sourire niais la place à côté de William. Un prénom que je n'avais pas oublié. Comment j'allais pouvoir faire? Je n'avais pas du tout imaginé la journée comme ça. Je pris donc place, me collant le plus possible à l'extrémité après l'avoir massacré du regard pour qu'il comprenne bien que ça ne m'enchantait pas le moins du monde. Je l'entendis alors ouvrir la fenêtre et s'en rapprocher encore et je ne pus réprimer un sourire. Je devais puer apparemment. Je portais discrètement mon pull à mon nez et je sentis l'odeur de Daniel. Ouais, logique...

    Le professeur parlait de binimum et alors, mes bras que j'avais étendu par delà la table pour agripper l'extrémité de cette maigre planche en bois se ressèrent encore plus. Etait il seulement, sérieux? On allait devoir être ensemble, lui et moi? Je me mordis la lèvre et ne rajoutais rien même si je mourrais d'envie de lever la main pour lui demander un changement. Non, je ne lui ferais pas ce plaisir, et au pire peut-être que j'allais pouvoir trouver un compromis. La feuille de papier se posa entre nous deux et j'osais à peine y jeter un coup d'oeil. Je ne voulais pas voir de quoi il s'agissait. Finalement, après quelques secondes je me décidais à poser mes yeux dessus pour comprendre au moins les phrases du prof tentant au maximum d'éviter son regard à lui. Etrangement doré, ocre mais profond malgré tout. Je lachais donc d'une voix à peine perceptible mais je savais que pour lui ça ne poserais pas de problème. Mes lèvres avaient à peine bouger.

      "_ Je le fais et onajoutera ton nom, ça t'va?"


    Puis mes yeux se posèrent devant moi avant que je n'ose finalement les reporter vers lui, une simple seconde.
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MessageSujet: Re: If you were a friend, maybe .. [Jenna]   If you were a friend, maybe .. [Jenna] Icon_minitimeDim 8 Mar - 21:51

    La tension était si palpable que j'aurais pu la toucher du bout des doigts. Indubitablement, je ressentais les émotions de Jenna. Elle était contrarié, stressé et peut être même effrayé ou alors c'était du dégoût. Bizarrement, cette dernière émotion me blessa. Comment pouvait elle ressentir autant de haine pour ma famille et moi-même, alors que tout comme son amoureux, nous nous rapprochions des humains, physiquement cela s'entend. Je restais dans mon coin, le visage contre la fenêtre, peu enclin à une conversation amicale. Pour ne pas mentir, j'étais déçu et vexé qu'elle puisse nous haïr ainsi. Si encore, elle avait vu de vraies raisons pour nous en vouloir, je ne disais pas mais là. J'étais certain qu'elle se basait sur les racontars de son petit ami loup. J'étais on ne peut plus certains que ce qu'il avait pût dire sur nous n'était pas très agréable. Je regrettais soudainement, vraiment, de ne pas avoir le don de Peter. Si cela n'avait tenu qu'à moi, j'aurais tout fait pour lui éviter le supplice d'être à mes côtés, mais cela aurait été un geste puéril de ma part. Enfantin. Hors, les trois cents ans que j'avais à mon compteur ne me permettait pas de me comporter comme un enfant. Je devais prendre ça de manière réfléchi. Peut être serait-ce là une chance pour enfin essayer de comprendre le mental étrange de cette adolescente. Sinon, cela risquait de finir en bagarre et étrangement, je n'étais pas sûr de sortir indemne.


    Je regardais à peine le papier. Quelques mots avaient attirés mon regard et j'étais certain que ce sujet nous toucherait encore plus que je ne le pensais. Si nous devions travailler sur une citation qui touchait aux différences entre les "races", ce qu'il me semblait lire, j'étais certains qu'une quelconque force supérieur s'amusait à nos dépens. Tout comme ma camarade, ma main s'était refermée sur le bord du bureau, pour ne pas craquer. Je remarquais ses mains crispées sur le bureau. Il aurait été normal, en ma qualité de gentleman, que j'ose lever la main pour demander à changer de binôme mais je réalisais alors, en sentant les émotions des gens alentours, qu'ils s'étaient mis par affinités. Je ne pouvais me permettre, en mon âme et conscience, de séparer deux être qui désiraient être l'un avec l'autre. Je fermais les yeux, inspirais un bon coup, remarquant que l'odeur animal que portait Jenna, s'était quelque peu volatilisée. Désormais elle était supportable. Je refermais alors la fenêtre d'un geste un peu trop rapide, ce qui fit sursauter des élèves tendus, quand le CLAC résonna trop fort. Je m'excusais silencieusement en les apaisant à l'aide de mon don.


    J'osais enfin jeter un regard à ma voisine. Elle croisa mon regard, l'espace de quelques secondes, et j'espérais qu'elle ait eu le temps d'y lire le manque d'animosité. Après tout, je ne pouvais pas la détester elle. Déjà j'en étais incapable, et en plus qu'était elle, si ce n'était une adolescente amoureuse prise dans un conflit qui la dépassait. Après tout, elle ne comprendrait jamais ni ce que nous ressentions, ni ce que nous vivions. Jenna ne nous voyait que par le point de vue de son amant. Rien de plus, et j'étais assez intelligent pour savoir combien un esprit amoureux était malléable à souhait. Si j'avais eu le don de Chelsea, il m'aurait été si simple de changer ses sentiments pour son loup. Seulement, la pensée de ce prénom provoqua en moi un frisson de peur que je ne pus retenir. Je repris mon allure statique tandis qu'elle m'adressait la parole. Si bas, que seul moi pus l'entendre. Un sourire que je ne m'expliquais pas se dessina sur mes lèvres. Ma voix alors calme et douce, comme d'habitude, résonna légèrement.



    -Hors de question. Nous sommes censé le faire à deux et je ne supporterais pas l'idée de te savoir enfermé chez toi à travailler pour deux. La suite de ma phrase m'étonna moi-même. Je ne veux pas qu'à cause de notre inimitié tu gâches des jours sans voir ton ami.


    J'attrapais enfin le papier avec des gestes soigné, un peu trop rapide peut être, mais seul Jenna put le remarquer. J'observais le morceau légèrement chiffonné, responsable de la tension élevé, que je m'appliquais à diminuer et souris. Je connaissais cette citation, je l'avais tant étudié durant mes années au lycée. Je la recopié docilement sur mon cahier nu, à l'aide de la plume de mon stylo et le re bouchonnais quand j'avais fini. Je poussais ensuite le papier vers ma voisine, essayant de ne pas effleurer sa peau tiède, gorgé de vie, avec la mienne, glacée comme la mort. Je relisais les quelques lignes calligraphiées sur ma page quand le professeur s'approcha, annonçant que la deuxième heure suivant celle-ci serait utilisée pour nous aider à préparer le plan de notre exposé.
    Qu'il aille au diable avec ses sornettes.
    Je reprenais mon calme et souris, le regardant se diriger vers d'autres tables, avant de m'adresser à ma camarade, reprenant le même ton que précédemment.



    -Puisque tu ne sembles pas prête à me faire assez confiance pour travailler avec moi, je te propose un compromis. On passe pour des élèves civilisés en préparant un plan, comme demandé .. Et ensuite, on le divise en deux. Tu prendras la partie qui t'inspireras le plus, je me chargerais de l'autre. Cela te convient il ?


    Je croisais les mains devant moi, évitant soigneusement de la regarder. Son odeur, bizarrement, m'attirait moins que celle de son frère. Sûrement parce que je m'étais goulûment nourris avant. Mais la douceur que je sentais en elle, qu'elle renfermait à mes côtés, apaisait légèrement la rancoeur que j'avais en imaginant les inepties que ses amis loups avaient pus lui raconter sur nous. A bien y réfléchir eux et ma famille n'étions pas si différent. Nous nous fondions dans la masse, sans être distingué des humains et comme nous, ils sortaient tout droit de contes inventés pour distraire. Alors, comment expliquer cette haine ? Je ne pus m'empêcher de penser à voix haute, faisant attention à ce que les autres n'entendent pas.


    -Que tu aies peur et haîsses Lynn, je le conçois. Ton frère compte pour toi. Mais que tu nous haïsses tous, je ne le comprend pas. Que t'avons nous fait ? Qu'avons nous fait à tes amis ? Cela m'échappe ..
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