Vampire Thême
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 La nuit, personne ne t'entend hurler... [PV]

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MessageSujet: La nuit, personne ne t''entend hurler... [PV]   La nuit, personne ne t'entend hurler... [PV] Icon_minitimeMer 13 Mai - 23:52

La lame s'enfonça facilement dans la chair tendre de la jeune femme.
Cela faisait une heure que cette folle s'était offerte à Félix,
complètement ivre, et 59 min qu'elle le regrettait. Félix était d'humeur particulièrement sadique, et la jeune fille était désormais méconnaissable. Ses vêtements étaient couverts de sang, de longues entailles étaient visibles un peu partout, toutefois, lorsqu'on la retrouverait morte, dans un fossé, l'inspecteur en charge de l'affaire n'aurait aucun mal à remarquer que le tueur s'était particulièrement entaillé sur son visage. Ses lèvres étaient entaillés un peu partout, de longues balafres marquées ses joues, et l'on pourrait aussi voir, en partant du fait que plusieurs dents étaient déchaussés, que son nez était cassé et ses arcades broyé, que le tueur l'avait frappé avec une violence inouïe. Mais il n'était pas certain que l'on
remarque les deux points qui se trouvaient sur son cou, et qui étaient la marque du tueur.

Une pluie glacée s'abattait en trombe sur le visage de Félix, à grosses goûtes. Le vampire était déjà trempé, mais il n'en avait cure. Après tout, il n'avait jamais froid. Cela faisait deux heures que Félix marchait, longeant la route 37. Il avait été chassé à Teslin, s'était bien amusé à jouer au sadique, s'était débarrassé du corps dans un fossé le long de la route, etaurait pu courir, et serait déjà arrivé dans la ville, mais Félix préférait marcher. Après tout, il avait le temps pour rentrer, il n'avait pas la moindre idée de ce qu'il allait faire une fois arriver là-bas. Probablement
trainer dans le square des jeunes, draguer un peu, aller au Zénith de
Whitehorse, cette boite qu'affectionne particulièrement Félix, probablement parce que c'était la plus grande concentration de demoiselles en état d'ébriété avancé à plusieurs centaines de kilomètres à la ronde... Et oui, c'est vraiment désert ce coin.

Toutefois, quelque chose continuée de troubler Félix. La dernière fois qu'il s'y était rendu, il avait aperçu, ou plutôt sentit un Lycanthrope... Félix avait depuis multiplié les sorties dans la ville pour tenter de le retrouver, mais sans succès. Il avait probablement prit peur en se rendant compte que Félix l'avait reconnu, et depuis rester terrer dans sa tanière, par peur...

Derrière lui, les phares d'une voiture apparurent... Félix se mit sur ses gardes en la sentant ralentir, au fur et à mesure qu'elle le rattrapait. Cette route n'était en fait pas si déserte, et Félix allait peut-être encore laisser libre cours à ses pulsions ce soir...
maintenant, il repartait vers lentement vers Whitehorse, repu. Bien sûr, Félix
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Jefferson Ness
Innocente et fragile proie
Jefferson Ness


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MessageSujet: Re: La nuit, personne ne t'entend hurler... [PV]   La nuit, personne ne t'entend hurler... [PV] Icon_minitimeJeu 14 Mai - 15:54

Ca aurait presque pu être un jour parfaitement ordinaire si ce n'avait pas été un jour particulièrement désagréable pour moi. Non ce n'était pas que je n'appréciais pas ce qui arrivait, ce n'était pas une histoire de tristesse, pas vraiment. Ce n'était pas une histoire avec une femme, comme bien souvent ça pouvait l'être. C'était simplement une histoire qui était déjà passée, et chaque année, c'était la même histoire, le même bordel, la même galère. Chaque année, je ne pouvais pas m'empêcher d'être touché par ce qui m'arrivait, car chaque année, je le savais, je n'irais mieux que le lendemain. Je savais que ce ne serait jamais qu'un jour seul et unique dans l'an que je devais affronter, seul contre le monde. Ce n'était pas le jour où je tuais quelqu'un, mais comme chaque année, ce jour précis était jour de congé pour moi, besoin de me vider l'esprit. Trop de choses se passaient dans ma tête en ce jour précisément ciblé, j'en devenais asocial et quelque part c'était comme un doux mais violent retour au source. Je savais comment cela finirait avant même que ça n'arrive, ce soir je rentrerais à pas d'heure, rentrant d'un bar où j'aurais bu un nombre de bières qui lui variaient selon les années. Je me ferais dans la voiture en revenant cette promesse complètement débile qui consistait à me dire que cette année je le ferais. Que cette année se serait différent. Et comme chaque fois en me faisant cette promesse, j'y croirais dur comme fer, mais l'année suivante, à nouveau, je serais effondré en ce jour car les choses n'auront pas changé. Plutôt si précisément elles auront changé, cela fera une année supplémentaire sans que avoir revu Liverpool.

Ce jour de l'année n'était surement exceptionnel que pour ceux qui s'y sont mariés, rencontrés, ont anniversaires ou que sais-je de joyeux ou de dramatique. C'est un jour ordinaire de l'année, pas pour moi. C'est le jour qui marqua mon grand départ, mon départ de l'Angleterre pour les Etats-Unis puis pour le Canada. J'étais déjà réveillé, mais je n'avais toujours pas ouvert les yeux. Allongé sur ce lit en bois de je ne sais plus quoi, je gardais les yeux parfaitement clos, refusant de les ouvrir. J'imaginais ma chambre à Liverpool, la chambre dans laquelle j'avais passé tant de temps à grandir, mais il fallait que j'ouvre les yeux. Que j'en ai eu envie ou pas, il faudrait que je le fasse. Alors j'ouvrais mes yeux pour découvrir non sans surprise cette chambre qui m'appartenait, dans cette maison qui m'appartenait. Bienvenue au Yukon, quelque part au Canada. Je n'étais clairement pas à plaindre de ma position ici au Yukon, bien au contraire, j'ai tout ce qu'il me faut, je vie plutôt très bien, mais il me manque l'essentiel, ma patrie. J'y pense parfois, mais aucun jour ne parviens à me rendre nostalgique comme celui-ci. Chaque année c'est pareil, chaque année je sens en mon être toute la nostalgie inexprimée d'une année qui remonte. Mes dents se serrent, mes doigts se replient en un poing clos et violent. Et c'est ainsi que tous les ans, je me réveille, pensant à mon pays, ma ville, ce que j'avais là-bas. Il a bien grandi le petit Jefferson sage et innocent de ces premières années. Entre temps il est devenu procureur au Yukon après avoir fais des études aux Etats-Unis et après avoir été hooligan en Angleterre. Que ce moment me manquait. L'insouciance de l'hooligan, qu'est-ce que je donnerais pour connaître ça encore juste une fois.

Nostalgie oblige, comme chaque année je passais mon survêtement du Football Club de Liverpool avec bien sûr le maillot du club floqué « Gerrard ». Je crois que ce nom restera gravé à jamais dans l'histoire du club, à sa façon Steven Gerrard est un héros, tout comme la coach Rafaël Benitez. Je regardais pour la première fois l'heure et constatait que mon calvaire serait long comme il était à peine un peu plus de dix heure. Comme chaque année, la même musique pour se donner le courage de tenir toute la journée « Hold Tight! » de Dave, Dee, Dozy, Beaky, Mick and Titch. De quoi s'encourager pour la journée, au moins le temps de la chanson. Malheureusement comme toutes les chansons, elle avait une fin, qui comme pour toutes les chansons, ne venait que trop tôt. Comme chaque année, c'était le même programme, pot de glace, petite cuillère, café. Le tout en squattant sur le canapé devant les enregistrements des plus beaux succès du club de foot du Nord de l'Angleterre. Revoir des succès ne valait clairement pas revivre l'ambiance du Chaudron Rouge, mais c'était un moyen que j'avais trouvé de passer agréablement cette journée tout en extériorisant ma nostalgie. Là aussi, bien malheureusement et comme souvent, il y avait une fin, qui une fois de plus ne vint que trop tôt même si désormais l'horloge indiquait dix-neuf heure trente. J'abandonnais les pots de glace et la télé pour me rendre dans un bar, faisant attention de prendre ma voiture, rouler me permettait de me vider l'esprit.

J'arrivais devant le bar et y entrait, la question « vous voulez quelque chose? » ne pouvait avoir qu'une réponse aujourd'hui, mais le serveur l'ignorait, aussi je lui répondis que je voulais bien volontiers une bière. Assise au comptoir pas si loin de moi une jeune femme que j'aurais parfaitement pu aborder un jour normal, aujourd'hui n'était pas vraiment le jour. J'aurais préféré que les trois crétins trop bruyants dans le fond du bar ne se décident à faire quelque chose que je pourrais mal prendre. Il suffirait qu'ils me parlent un peu de travers en ce jour pour que la situation ne dégénère, mais l'un d'entre eux dont le nom m'échappait complètement se rendit près de la demoiselle. Celle-ci lui répondit dans un anglais irréprochable que je pensais plutôt comme celui d'une anglaise. Pas possible, ma nostalgie me faisait entendre des choses. En tout cas si ma nostalgie imaginait des choses pour la voix de la jeune femme, les insanités du jeune homme ne m'échappait pas. La jeune femme lui répondait en l'envoyant promener, dégageant son bras de l'étreinte du jeune homme. Ce dernier sembla s'en vexer et mit une violente gifle à la demoiselle. Je vis le barman chercher quelque chose sous son bar et lui fit signe que je m'en chargeais:


- Excuses-moi, mais je crois que la jeune femme a déjà dis « non » à tes avances.

Je n'eus aucune réponse, ni aucun intérêt, je repris:

- Hey Ducon! Le jeune homme tourna sa tête vers moi, Tu vois barman, tu dis Ducon, il se reconnaît. Je te laisse deux choix, tu fous la paix à la jeune femme et je te laisse tranquille. Ou tu lui parles encore et je m'occupe personnellement de toi et les deux autres crétins.

Les gens n'étaient jamais rationnelles dans leurs choix, il fallait toujours qu'ils fassent les choix les plus idiots. Aujourd'hui pourtant j'étais bien heureux de ce choix réalisé par le jeune homme qui s'approchait de moi, sourire arrogant et poings fermés. Tandis que je vis les deux autres le rejoindre, je restais stoïque face à eux. Mon poing gauche fermé, mon point droit tenant encore ma chope de bière de la main. Je portais la chope à mes lèvres, buvant une gorgée avant d'entamer une chanson célèbre tandis que je marchais d'un pas décidé vers les trois jeunes hommes:

- When you walk, trough a storm, hold your head up high. And don't be afraid of the dark...

Continuant de chanter, j'éclatais la chope de bière sur la tempe du jeune homme qui avait abordé la jeune femme. Dans un mauvais geste, les deux autres firent mine de s'approcher pour me frapper, et moi saississant un tabouret en bois de les fixer avec un regard du plus pur sadisme:

- Bou.

Ils ne se firent guère priés, empoignant leur ami KO par les bras et sortant rapidement du bar. Pour ma part, je m'asseyais à côté de la jeune femme lui demandant si elle allait bien, alors qu'elle me rétorqua la même question sur mon état mental de m'en prendre à trois mecs. J'allais bien mentalement. Pas en ce jour précisément, mais en théorie, j'allais plutôt bien en règle général. J'invitais la jeune femme à boire un verre toujours au comptoir, celle-ci accepta dans un sourire, nous discutâmes un peu, et je découvris que je ne m'étais pas trompé. La jeune femme était bien anglaise, mais du Lancashire de surcroit. Ce devait être un miracle que nous nous soyons rencontrés, d'autant plus que c'était précisément en ce jour si particulier pour moi. Une heure passa et je sentis la main de la jeune femme sur ma cuisse, me prenant la main pour m'emmener dans l'endroit le plus intime que l'on trouve dans un bar, les toilettes. Je lui souris alors qu'elle verrouillait la porte:

- Je croyais t'avoir entendu dire que tu n'étais pas de ce genre de filles à s'envoyer en l'air dans les toilettes d'un bar.
- J'ai dis ça moi? Peut-être à l'autre oui, pas à toi.

Il est toujours mieux d'imaginer ce qui peut être arrivé que de se l'entendre raconté, aussi je vous laisse imaginer tout le bien que la jeune femme a pu me faire. Suffisamment pour que j'en oublie ma nostalgie et que je me retrouve, au beau milieu de la nuit à rentrer chez moi, souriant quand j'aurais dû être abattu. J'étais sur une route traditionnellement déserte et roulait à bonne allure quand je vis dans la lumière des mes phares uns silhouette se dessiner sous la pluie battante. Je ralentis pour m'arrêter à hauteur de la personne, ouvrant la portière passager comme je pouvais le faire en étant côté conducteur:

- Vous voulez que je vous emmène à Whitehorse?
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MessageSujet: Re: La nuit, personne ne t'entend hurler... [PV]   La nuit, personne ne t'entend hurler... [PV] Icon_minitimeJeu 28 Mai - 0:22

Félix avait crut sa soirée terminé, et pensait qu’il allait devoir errait sans but dans la nuit, ou partir draguer en boite, mais il avait peut-être trouvé une proie particulièrement intéressante, en la personne de cet homme serviable qui ne savait pas qu’il pouvait être risqué de rendre service à un inconnu, particulièrement lorsqu‘il s‘agit d‘un vampire perpétuellement assoiffé de sang…

Toutefois, Félix se dit qu’il devrait d’abord profiter de la situation. Se renseigner sur la situation de la région, ce que la police ou les locaux pensés de tous ces meurtres et morts suspectes.

Volontiers merci! C’est vraiment un temps de merde pour les piétons, dit Félix sur un ton joyeux, décidé à jouer la comédie avec un personnage désespéré qui n’attendait qu’une chose, qu’une âme charitable vienne a son secours…

Félix entra dans la voiture, le sourire aux lèvres, pour plusieurs raisons: Officiellement, cela faisait longtemps qu’il marchait sous la pluie, comme en attesté l’humidité de ses vêtements. Officieusement, les hommes résistent plus longtemps à la torture que les femmes, surtout lorsqu’ils sont dans la force de l’âge, comme lui.

Félix observa le conducteur du véhicule. Plutôt grand, à l’allure fière, brun avec les cheveux un peu long, Félix se dit qu’il devait plaire aux femmes lui. Bon bien sur, pas autant que Félix, mais quand même. La légère touche féminine que son odeur dégagé lui confirmait également qu’il devait probablement rentrer d’un rendez-vous avec une femme.

Puis-je savoir votre nom?



vraiment désolé pour ce très piètre post, j'avais pas trop le temps mais je voulais pas faire attendre plus longtemps -_-
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Jefferson Ness
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MessageSujet: Re: La nuit, personne ne t'entend hurler... [PV]   La nuit, personne ne t'entend hurler... [PV] Icon_minitimeMar 9 Juin - 11:14

Finalement cette journée n’était peut-être pas aussi noire qu’elle avait pu me le paraître. Certes il y avait eu cette nostalgie que je sentais toujours bien présente en moi, cependant je devais avouer que ce moment, agréable plus que de raison, avec la jeune femme m’avait remonté le moral. Et oui quand ça n’allait pas, il suffisait parfois de peu de choses pour que le moral ne remonte de lui-même comme ça avait été le cas dans ce bar. Chanter l’hymne de mon club tout en buvant une bière et en frappant un homme simplement parce que je ne l’aimais pas. C’était exactement comme si j’avais été en Angleterre et que la tare seule et unique de cet homme fut d’être un hooligan mais d’un autre club que le mien. Vu la hargne que j’avais mis en éclatant la chope sur sa tête, je parierais certainement sur un hooligan de Chelsea. Ces crétins là ne savaient faire que bruit et descendre de la bière, sans savoir se battre, pas comme les hooligans de Manchester United qui eux étaient parmi les plus amusants à recevoir. Enfin tout est relatif n’est-ce pas ? Quoi qu’il en soit j’étais à nouveau de plutôt bonne humeur bien sûr ce n’était pas le Pérou, mais c’était une situation pas si mauvaise qui se défendait plutôt bien en y réfléchissant Puis si je n’avais pas profité de la demoiselle, je serais rentré plutôt et je n’aurais été d’aucun secours à cet homme qui marchait le long de la route :

- Oui j’imagine, j’ai moi-même beaucoup pratiqué le stop et donc la marche sous la pluie. Ce n’est pas forcément désagréable de sentir la pluie couler sur sa peau, en tout cas pour moi, ça avait un effet rassérénant, mais je suppose que chacun réagit différemment à la pluie. La plupart des gens en ont peurs, ils ne veulent pas être mouillés.

Oui la pluie, voilà qui encore une fois avait la fâcheuse idée de me rappeler l’Angleterre. Mais je faisais avec, après tout, c’était toutes les années le même bordel nostalgique pour moi, aussi il ne fallait pas s’étonner que je commence doucement à prendre le pli de tout ce bordel nostalgique que je ressentais tous les ans. C’était ainsi c’est tout, on finissait par s’y faire avec le temps car si le temps ne soignait pas tous les maux, il permettait au moins de s’habituer aux maux qui revenaient de façon régulière. Comme par exemple cette nostalgie de mon pays natal que je ressentais tous les ans et je dirais avec plus de force année après année. Six années sans voir « mon » pays, il faudrait quand même que je pense à arranger cela, il faudra que j’y retourne un de ces jours car si l’Angleterre me manquait, je n’osais imaginer combien elle devait se languir de moi. Revoir mes amis de Liverpool me ferait sans aucun doute possible du bien, revenir ici sera certainement dur après ça, mais au moins j’aurais revu mon pays et mon cœur ne s’en portera que mieux. En l’état actuel des choses ce ne serait pas bien compliqué vous me direz, mais ça me fera assurément du bien que de revoir l’Angleterre. En attendant faute d’être en Angleterre avec des personnes que je connaissais depuis belle lurette, j’étais au Yukon avec un homme que je venais de prendre en stop:

- Jefferson Ness Dis-je en tendant ma main vers lui, Enchanté de faire votre connaissance monsieur…
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