Vampire Thême
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 Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben

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Gaelle William
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MessageSujet: Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben   Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben Icon_minitimeMer 16 Sep - 1:30

Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben 2ypnkap && Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben 34gjxoh

Parfois quand on a réellement envie de quelque chose, il faut forcer le destin, n'est-ce pas ?
Non je ne parle pas de relations humaines, simplement, tous les matins depuis un certain temps, en allant au lycée, Gaëlle passait à pieds devant ce fleuriste, même au bout de la rue, elle pouvait sentir le parfum doux et fleurit qui émanait du magasin. Comme elle habitait seule, elle avait un jour pensé qu'un petit bouquet de fleur, pourrait égayer un peu son appartement. Un peu de couleur et une odeur apaisante, voilà à quoi elle avait songé, et elle avait décidé de se l'acheter, ça pouvait sembler un peu triste, mais elle était certaine que lorsqu'elle arriverait chez elle et le mettrait dans un vase, cela lui ferait plaisir de le voir trôner dans le petit salon. C'était samedi, elle avait passé la matinée au lycée et finit sa journée à midi, elle était alors rentrée chez elle manger et avait travaillé pendant deux heures. Il était maintenant 16 heures et elle avait donc décidé de sortir de chez elle.

Elle ne s'était pas douté un instant qu'elle pouvait rencontrer quelqu'un qu'elle connaissait et qu'elle passerait plus de temps dehors. Dernièrement elle ne répondait plus beaucoup au téléphone, non pas qu'elle ait déjà l'esprit vieux. Mais pour le moment il était ce qui la rattachait au monde extérieur, or elle avait besoin de s'acclimater un peu avant de répondre aux mille questions qu'on lui poserait à propos de la rentrée etc. Et puis définitivement son père s'inquiétait trop et elle ne supportait plus ses trente appels maladifs qu'il lui passait tous les jours. Elle savait qu'elle jouait avec le feu, si elle ne lui répondait pas, il risquait sans doute de lancer un avis de recherche
Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben Icon_rolleyes !

Enfin bref, elle tourna la clé dans la serrure et lorsqu'elle eut fermé la porte, elle descendit les escaliers et après quelques instants, elle se retrouva finalement sur la chaussée. Le soleil n'était pas très présent aujourd'hui, mais ça n'avait rien d'une surprise, dans ce coin des Etats-Unis ce n'était pas vraiment les grandes chaleurs. Quelques pas dans la rue, la convainquirent qu'elle aurait mieux fait de prendre une veste, mais puisqu'elle n'avait que quelques minutes de marche à faire. Vous connaissez sans doute le cliché qui consiste à bousculer l'inconnu qui traverse la rue dans le sens inverse et bien... il ne se produisit pas. Bien que Gaëlle soit parfois peu attentive et maladroite, elle avança vaillamment tout en mettant de la musique sur son téléphone, peu forte, pour ne pas trop déranger lorsqu'elle passait près des gens. Elle écoutait pensivement "Island in the Sun" de Weezer. Au milieu de la chanson, le téléphone sonna, elle raccrocha aussitôt, se promettant de rappeler le soir venu et la musique se remit aussitôt en marche. Lorsqu'elle leva la tête de son téléphone cependant, il lui sembla reconnaître la silhouette qui tournait au coin de la rue. Mais elle devait avoir tord, après tout cela remontait à ds mois, le souvenir de ce visage était un peu plus flou de jour en jour.

C'est pourquoi elle décida de ne pas porter plus d'attention à l'individu. Il aurait été ridicule qu'elle le prenne pour quelqu'un d'autre. Elle continua donc son chemin, mais se retourna un instant pour l'observer et croisa son regard. Alors elle s'arrêta, interloquée...
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Torben Delinger
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MessageSujet: Re: Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben   Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben Icon_minitimeJeu 17 Sep - 19:18

    Me réveillant en sursaut, j'avais la bouche pâteuse et le crâne douloureux. Une nouvelle nuit passée à boire, chanter danser et m'amuser. Une nouvelle nuit d'ennui en quelque sorte, car si j'avais eu le temps d'aller dans ce vieux bouge du quartier chaud de Watson Lake, c'est que les vampires se tenaient à carreaux. Me massant douloureusement le front, je remarquais qu'il était largement passé quinze heures. J'avais encore fait fort aujourd'hui, mais je ne m'en souciais guère; être ici était un peu comme être en vacances prolongées. C'était aussi amusant que d'un ennui mortel, parfois, tout dépendait de l'instant en réalité. Les Volturis ne donnaient plus signe de vie, et l'épée de Damoclès qui se faisait sentir au dessus de nos têtes lorsqu'ils étaient présents semblait s'estomper à l'heure actuelle. Cependant, cette tranquilité n'était qu'apparente; cela me dérangeait quelque peu de me retrouver dans cette situation, j'avais sans arrêt l'impression que je devais rester sur mes gardes pour ne pas tomber dans une embuscade, ou dans un de ces pièges retors dont les vampires semblaient avoir le secret. Ce n'était pas quelque chose qui me permettait de me sentir tranquille... Et puis quelque part, avoir un ennemi était rassurant pour quelqu'un comme moi; cela signifiait avant tout que j'avais un but, ce qui n'était plus le cas ces derniers temps.


    De toute évidence, j'avais besoin d'un ennemi contre lequel me battre. J'avais besoin de ce genre de chose, cela me faisait me sentir vivant, car j'avais ainsi l'impression d'avoir un but dans la vie, d'avoir quelque chose qui me motivait. Certes, je ne pouvais guère présumer que je n'avais pas peur des vampires ou de ce qu'ils étaient capables de faire, non, ce n'était pas ça. J'avais peur bien sûr, mais en règle générale j'étais largement capable de gérer ce stress en attendant de pouvoir attaquer de nouveau. Où étaient donc les Volturis? La sempiternelle question ne cessait de me tourmenter. Les Anderson se montraient toujours aussi arrogants et sûrs d'eux mêmes. Quel plaisir cela aurait été d'avoir une occasion de se battre contre eux. Mais le problème avec ces « végétariens » comme ils aiment s'appeler, c'était que justement leur régime alimentaire ne faisait pas d'eux des ennemis immédiats... D'où cette situation d'attente oppressante que je ressentais.


    Chassant toutes ces mauvaises pensées, j'allais prendre quelques affaires avant d'aller dans la salle de bain. Me contemplant dans le miroir, je remarquais ces cernes qui me soulignaient les yeux, ainsi que ce teint blafard que j'arborais à chaque lendemain de soirée alcoolisée. Rentrant sous la doche, j'accueillais avec un grognement de satisfaction l'eau brûlante qui me coulait sur la peau. Elle me revitalisait littéralement, et je me sentais bien mieux lorsque je sortais de la douche. M'habillant, je décidais d'aller faire à nouveau un tour en ville, dans l'espoir ô combien futile d'avoir de nouvelles infos sur les Anderson ou les Volturis, ou tout simplement de rencontrer de jeunes et jolies demoiselles... m'habillant rapidement d'un pantalon noir et d'un T Shirt blanc, j'enfilais ma veste avant de prendre mes clés, constatant par la même occasion que toute la meute semblait elle aussi partie dehors. Sans doute pour chasser? Haussant les épaules, je quittais le domicile « familial »...


    Me promenant dans les rues, je sentais l'air frais de ce début d'année qui me transperçait la peau, malgré ma constitution plus solide de loup garou. Avançant dans les rues de la petite ville canadienne, je resserrais autour de mon cou le col de ma veste, avant de tourner au coin d'une rue. Avançant de quelques pas, mes sens me permirent de me rendre compte que l'on m'observait, je me retournais. Là bas, un peu plus loin, je vis un visage qui me laissa sans voix une fois que je l'eus reconnu.



    - gaelle? Je rêve ou c'est toi? Qu'est ce que tu fiches ici? demandais je, interloqué
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Gaelle William
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MessageSujet: Re: Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben   Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben Icon_minitimeSam 26 Sep - 23:28

Gaelle avait par le passé, partagé beaucoup de moments heureux avec sa famille et tout particulièrement avec son frère. Mais elle avait le souvenir de sa mère qui plaçait tous les samedis ses fleurs achetées au marché, dans un grand vase en verre. Toute petite, elle avait été fascinée par celui-ci, elle s'en était approchée et sa mère lui avait tapé les doigts de peur qu'elle le renverse. Ga' avait boudé, oui elle le faisait souvent étant enfant, et sa mère lui avait expliqué combien ce vase lui plaisait, c'était tout une affaire de famille, compliquée et sans doute trop ennuyeuse pour être contée ici. Enfin Gaelle avait récupérée le vase, pour venir s'installer ici. Et elle allait le fleurir.

Elle n'avait pas de problèmes existentiels en ce moment, aucune troisième guerre mondiale au programme. Elle essayait, comme toujours, de se fondre dans la masse. De s'intégrer dans la petite ville de Watson Lake. Tous ces gens qui se connaissaient depuis leur plus tendre enfance, lui avaient parfois barré la route, elle était arrivée là comme une parvenue, tel était le premier sentiment qu'elle avait eu. Et puis petit à petit, on avait pris plaisir à lui raconter tout ce qu'elle avait raté. Elle avait aussi remarqué qu'on ne lui disait pas tout, et malgré sa curiosité naturelle, elle avait vite comprit que ses camarades appréciaient le fait qu'elle ignore certaines choses à leur sujet. Des détails embarrassants sans doute. Ainsi elle les voyait d'un œil nouveau et comme ils s'en sentaient rassurés, elle décida de ne pas trop creuser. Peut-être n'était-elle pas plus intéressée que cela, d'ailleurs. Parce que ce n'était pas dans son habitude de rester dans l'ignorance. Mais cette fois, c’était différent, il devait s’agir de ragots et de mystères de jeunesse. D’autres choses l’intriguaient davantage.

Ici, les gens semblaient vivre dans l’incertitude. Tout n’était pas aussi beau qu’ils en donnaient l’illusion. Tout particulièrement que le nom des Anderson venait à surgir au milieu d’une conversation. Tout le monde feignait l’indifférence. C’était assez troublant. Mais Ga’ ne s’y laissait pas tromper. Car d’autres fois, certains parlaient d’eux avec curiosité. Ce qu’elle ne comprenait pas, pourtant, c’est pourquoi personne ne faisait l’effort d’aller vers eux… Ayant déjà fait part de cette observation à deux de ses camarades de classe, celles-ci lui avaient signifié que c’était peine perdue. La jeune fille avait alors décidé qu’elle jugerait d’elle-même. On juge bien trop souvent par l’apparence, tel était le sentiment de la demoiselle.

Gaëlle était parfois considérée comme une rêveuse, une utopiste. Certes, elle n’avait pas toujours les pieds sur terre et elle aimait à croire en la bonté de l’homme. Un peu trop, sûrement. Elle avait quelques siècles de retard, en effet « l’Homme est naturellement bon », de Rousseau, lui aurait peut-être bien correspondu. Enfin, à une certaine époque, car bien qu’optimiste, elle n’était pas naïve. Elle l’avait été. Ne le nions pas, plus que la moyenne, et puis après avoir été bernée et utilisée, elle avait finit par ouvrir les yeux. Au grand soulagement de sa famille. Mais ce n’avait pas été une mince affaire.

Gaëlle se demandait ce qu’elle allait prendre, elle voulait des fleurs rouges ou bleues. En fait, quelque chose d’un peu coloré. Imaginons des œillets… Ce serait joli. Elle n’eut pas le temps d’y penser plus longtemps, parce qu’elle s’était arrêté, assez inconsciemment pour tout dire. Mais surtout parce qu’elle ne s’était pas trompée sur la personne qui se trouvait plus ou moins face à elle. Le fait d’entendre sa voix avait rendu la situation plus réelle. Non, elle ne devenait pas folle. Pas encore. Du moins, si son cas pouvait empiré =P.

Qu’est-ce qu’elle faisait ici ? Elle pouvait lui poser la question, bien qu’il lui semblait connaître la réponse. Ne lui avait-il pas dit, à l’époque, qu’il avait pour habitude de partir encore et encore. Watson Lake ne devait être qu’une étape comme les autres…

Elle finit par se remettre à avancer vers lui en répondant à la question, détachant chaque mot, parce que la réponse lui semblait ironique.


« Ce que je fais ici ? Eh bien j’y vis ! »
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Torben Delinger
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MessageSujet: Re: Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben   Les humains aussi sont sensibles à l'odorat || Torben Icon_minitimeLun 28 Sep - 15:31

    j'avais l'impression que mon cerveau me jouait des tours. Avais je de nouveau usé et abusé de vin et d'autres spiritueux la veille? Je ne pouvais décemment que dire oui à ce genre d'affirmation, connaissant très bien les moindres détails de ce que j'avais pu faire la veille au soir. Pourtant, la vision qui s'offrait à moi était étrange. Je revoyais une fille que j'avais connu il y a des mois... Je ne savais même plus où en toute honnêteté. J'en avais tellement connu, et dans tellement de pays, que c'était très difficile pour moi également de me rappeler chacune de mes rencontres. Enfin, surtout des rencontres féminines en fait. J'avais bu ce jour là... Oui, de vagues souvenirs me remontaient en mémoire. On ne pouvait pas dire que j'avais gardé beaucoup de choses de notre rencontre. Avions nous bu ensemble? C'est bien ce qu'il me semblait, même s'il me semblait que je ne pouvais pas en avoir la confirmation autrement qu'en le demandant, ce qui pouvait s'avérer gênant. Ce n'était ni l'heure ni le moment de parler de ce genre d'aventures éthyliques. Avions nous couché ensemble? Non, je n'avais aucun souvenir qui allait dans ce sens. Un baiser? Nous étions nous embrassés? Oui, c'est ce qu'il me semblait. Je me voyais lui ouvrir ma porte, et sauf si ma mémoire me jouait des tours, elle m'avait embrassé. Ou alors c'était une autre?


    Je commençais à avoir la migraine à réfléchir à tout cela.


    Je décidais donc de passer outre ces souvenirs. Si je me souvenais du nom et du physique de la jeune femme, c'est donc que je l'avais déjà rencontré, ce qui était logique, et c'était d'ailleurs tout ce qui importait. Etait ce dans ce pays que tout avait commencé, au Canada? Non, je voyais d'autres endroits... Raaaah, saloperie de mémoire! Je ne me souvenais plus de rien, et ma mémoire ne semblait n'être réellement qu'un interminable fouillis et de successions de souvenirs et de flash lumineux. Ca m'apprendra à picoler! Cependant, mon petit doigt me soufflait que notre rencontre n'avait sans doute pas été l'occasion de quelque chose de particulièrement gai..; En effet, l'attitude de a jeuen femme semblait ambiguë. Elle me répondait d'un ton et d'une façon qui me semblaient ironiques, mais elle avait une drôle de lueur dans les yeux. Etait ce seulement de la surprise? Je ne pouvais pas le dire. J'avais mal à la tête, et n'avait pas envie de me livrer à une étude psychologique d'une personne que je n'avais pas réellement envie de comprendre.



    - Tu vis ici? Et depuis quand? Il me semble pas que l'on se soit rencontrés dans le secteur, pourtant...


    C'était une simple constatation d'où ne perçait absolument aucune ironie. Je ne pouvais pas prétendre que ce genre d'attitude était louable, et gaelle pouvait tout à fait mal prendre le fait évident que je ne me souvenais même plus de notre rencontre, ni du lieu de celle ci. Remarque, si elle habitait ici, peut être devais je y voir une nouvelle source d'amusement et de distraction, pensais je... Devais je voir dans son attitude une façon très nette de poser des sortes de limites, ou devais je y voir une attitude ferme et posée d'où ne perçait aucune envie de s'amuser avec moi? Je ne pouvais absolument pas le deviner. Il fallait avant cela que je me remmémore des choses que j'avais depuis longtemps oublié...
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